Attendu avec enthousiasme depuis sa sortie, le livre intitulé 《Général Mamadi DOUMBOUYA-LE BATISSEUR, Pour la Patrie et pour l’honneur 》se déploiera sur toute l’étendue du territoire à travers la Caravane Humanitaire du Livre et dans les capitales africaines et occidentales notamment Dakar, Abidjan, Bamako, Paris, Washington, Bruxelles etc…
Dans cette autre communication, sur quelques extraits du livre, nous nous focalisons sur les intérêts impérissables de la Guinée qui ont été préservés grâce au Général de corps d’armée MAMADI DOUMBOUYA et le CNRD.
Dans le domaine où le Général Mamadi DOUMBOUYA a indéniablement exercé son leadership, sa gestion habile et son dévouement patriotique pour insuffler une nouvelle dynamique, il s’agit sans conteste du secteur minier. Désormais, les intérêts impérissables de la Guinée sont préservés sous tous les aspects, grâce à une réforme institutionnelle efficace orchestrée par l’équipe dirigeante du secteur et à la volonté politique inébranlable du Président de la transition.
Ces réformes couvrent un large éventail, allant de la revitalisation du cadastre minier par la révocation des permis non conformes, à l’instauration de la transparence dans la gestion du secteur à travers des mécanismes de contrôle destinés à contrer les pratiques douteuses. De même, la promotion du contenu local devenue un levier moteur pour améliorer la qualité de vie des populations, tout en encourageant les entreprises locales à émerger comme des champions nationaux au sein du secteur. Il est également essentiel de souligner que, dorénavant, en cas d’équivalence de compétence, la priorité est accordée aux acteurs nationaux dans les zones minières.
La réforme majeure de l’administration fiscale sous la direction du Général-Président réside dans l’établissement d’un prix de référence pour la bauxite. Ce prix repose sur une formule standard fondée sur les indices et les références internationales.
Ainsi, le prix de vente de la bauxite expédiée depuis les ports minéraliers de la Guinée est déterminée en fonction de la qualité, de la quantité, du taux d’humidité et des frais de transport. Par ailleurs, la stricte observance du code minier est désormais une norme immuable, marquant une rupture nette avec les pratiques passées où la violation répétée du code minier guinéen était monnaie courante, résultant de la corruption, du laxisme, du clientelisme et du favoritisme. Les intérêts de la Guinée, longtemps bradés, connaissent désormais une défense acharnée.
Une autre étape marquante réside dans la mise en œuvre de l’article 138, paragraphe 2 du code minier, qui donne à la Guinée le droit de vendre jusqu’à 15% de ses parts de participation dans tout projet minier implanté sur son territoire. En accord avec cette disposition, le ministère des Mines et de la Géologie a informé toutes les entreprises minières de l’intention de la Guinée de faire valoir ce droit conformément aux dispositions du code minier. Cette initiative a généré un apport considérable de près de douze mille milliards de GNF au trésor public au cours du premier trimestre 2022, dépassant les onze mille milliards de francs guinéens recueillis par les douanes guinéennes pour l’ensemble de l’année 2022. Ce succès tangible est le fruit du leadership du Président de la transition.
En ce qui concerne le contrôle quantitatif et qualitatif des minéraux exportés, de nouvelles mesures ont été mises en place pour garantir une maîtrise totale des ressources extraites, mettant fin définitivement au pillage et à la dilapidation des ressources minières de la Guinée. Chacun des treize ports mineraliers du pays est désormais surveillé par des inspecteurs des mines, qui évaluent les caractéristiques de chaque navire-mineralier entrant dans les eaux guinéennes, ainsi que le tonnage précis de chaque chargement devant quitter le territoire.
Dans le but d’assurer une qualité inégalée, le Président de la transition envisage la création d’un laboratoire d’analyse d’échantillons de renommée internationale à Kouria, à Coyah, avec une capacité impressionnante de 1000 échantillons par jour. Ce laboratoire servira non seulement le secteur minier, mais également les autorités compétentes. Il renforcera les capacités de contrôle du ministère des Mines et de la Géologie et pourrait apporter jusqu’à cinq millions de dollars de recettes mensuelles à l’Etat.
– Le Projet SIMANDOU et les réussites du CNRD
L’une des manifestations éclatantes du patriotisme du CNRD et l’un des accomplissements les plus remarquables de la Gouvernance du CNRD et du Général de Corps d’armée MAMADI DOUMBOUYA depuis le 5 septembre 2021 est la signature du nouvel Accord-cadre tripartite pour la réalisation du projet Simandou. Cette signature a fait les gros titres à l’échelle mondiale, scellant l’entente entre Winning Consortium Simandou ( WCS), titulaire des blocs 1 et 2, Rio Tinto- Simfer, détenteur des blocs 3 et 4 du Simandou, et l’Etat guinéen. Soucieux de défendre les intérêts de la Guinée, le Général Mamadi DOUMBOUYA a suspendu le projet à deux reprises pour exiger une visibilité et des garanties sur les retombées socio-économiques du projet, afin de promouvoir le développement économique et social à travers un contenu local solide, une dynamique industrielle et la création d’emplois substantiels.
Le passage d’une exploitation minière primaire à une industrie de transformation est la vision claire des autorités de la transition. Le projet Simandou a donné naissance à un comité stratégique dirigé par des cadres proches du Président de la transition, notamment le Général Amara CAMARA, ministre Secrétaire Général à la présidence, M. Djiba Diakité, ministre directeur de cabinet à la présidence, et le ministre des Mines et de la Géologie.
– voici quelques-uns des résultats obtenus par les autorités de la transition concernant le projet Simandou :
— Création de la société Trans Guinéen, sous la houlette du Général de Corps d’armée MAMADI DOUMBOUYA, garantissant à la Guinée une participation gratuite et non diluable de 15% au capital du chemin de fer et du port, en plus de ses 15% des parts du minerai.
— Révision du chemin de fer pour une utilisation étendue, allant du transport de minerais aux produits agricoles, passagers et marchandises.
— Établissement d’un calendrier d’exécution strict avec des pénalités sévères en cas de non-respect des engagements, garantissant ainsi le démarrage de la production.
— Insistance sur le respect des normes environnementales, sociales, de santé et de gouvernance, ainsi que sur la qualité des infrastructures construites.
— Priorité donnée aux entreprises et compétences locales dans le cadre du contenu local, avec la mise en place de coentreprises en l’absence de compétences locales spécifiques.
Le projet Trans Guinéen, un chemin de fer reliant la mine de Simandou au port de Matakang, aura un impact transformateur en desenclavant le pays et en connectant les zones rurales aux centres urbains. Cette initiative catalysera le développement socio-économique, favorisera l’agriculture, le commerce, la décentralisation, le numérique, l’urbanisation et la lutte contre l’exode rural, faisant de la Guinée, un moteur de croissance et d’émergence en Afrique.
En somme, cette série de réformes dans le secteur minier témoigne de la détermination du Général de Corps d’armée MAMADI DOUMBOUYA et de son équipe à garantir que les ressources de la Guinée soient exploitées de manière équitable, transparente et durable, tout en contribuant au développement économique et social du pays.
Le comité international du Livre.